1995, IL FAUT ÊTRE TRÈS PRÈS DES GENS (sélection), ÉLÉGIE, polyptyque, fusain sur papier
CAFÉ : J’y trouve depuis des années mes modèles. Je dessine des situations, des espaces, des lumières. Rencontres formelles, plastiques. Série de dix grands dessins de Belleville en 1995. « Il faut être très près des gens ». C’est une phrase de Max Beckmann dans un texte de 1920. Il y dit aussi « Chaque jour, tout homme est nouveau pour moi, comme s’il venait de tomber du ciel. Où ressentir cela plus fort que dans les villes ? la ville, c’est le grand orchestre humain. »
Anne Gorouben, extrait de CONSTRUIRE, catalogue INFINIS, La Rochelle 1995
IL FAUT ÊTRE TRÈS PRÈS DES GENS, 1995, fusain sur papier, 76/56 cm
IL FAUT ÊTRE TRÈS PRÈS DES GENS, 1995, fusain sur papier, 76/56 cm
IL FAUT ÊTRE TRÈS PRÈS DES GENS, 1995, fusain sur papier, 76/56 cm
IL FAUT ÊTRE TRÈS PRÈS DES GENS, 1995, fusain sur papier, 76/56 cm
IL FAUT ÊTRE TRÈS PRÈS DES GENS, accrochage Théätre des Fédérés, 1996, photo J-P Estournet, Montluçon
IL FAUT ÊTRE TRÈS PRÈS DES GENS, Théâtre des Fédérés 1996, photo J-P Estournet, Montluçon
ÉLÉGIE, exposition « Corps sublimes, Corps difficile » Issoudun 2013
1995, ÉLÉGIE, fusain sur papier
1995, ÉLÉGIE, fusain sur papier
1995, ÉLÉGIE, fusain sur papier
1995, ÉLÉGIE, fusain sur papier
1995, ÉLÉGIE, fusain sur papier